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Cette association peut surprendre car le lien entre les deux ne semble pas évident. Et pourtant, les lombalgies sont liées à de multiples causes et provoquent des symptômes qui méritent de les envisager aussi à l’aide d’une lecture psychologique.
En se penchant sur le symptôme en lui-même par exemple, on peut dire que toute personne, peu importe son mode de vie (actif, sportif ou sédentaire) a expérimenté, plus ou moins longtemps, des douleurs dorsales. Cela peut favoriser une impression de banalité ou que l’entourage banalise la douleur. Ce ressenti peut être vécu de différentes façons :
Comme il s’agit d’un symptôme très courant, certaines personnes se disent que cela ne vaut pas la peine d’en parler à leur médecin traitant. Elles prennent alors le risque de faire des erreurs (posture, mouvement), qui entretiennent le phénomène et que cela ne devienne chronique.
D’autres personnes vont s’en plaindre de manière systématique, tout en réalisant que le médecin propose toujours les mêmes traitements (antidouleurs, antiinflammatoires, kiné, acupuncture, perte de poids, école du dos,…). Ce qui peut donner l’impression que le médecin banalise la situation. Or, malgré la fréquence du problème, et l’importance de la douleur, la médecine n’offre pas d’autres alternatives.
Les alternatives proposées, bien que peu nombreuses, fonctionnent lorsque la personne est rigoureuse durant le traitement et bien après. Il est donc essentiel de s’accorder du temps, dans le sens de prendre du temps pour soi, pour mettre les différents conseils en pratique. Même si les conseils paraissent simples, et qu’on aurait tendance à les banaliser, il faut se convaincre de leur importance et les mettre en pratique !
Même les personnes toujours pressées, comme les mères de familles par exemple.
Lorsque la douleur devient chronique, l’entourage peut se lasser des plaintes et banaliser la situation en disant par exemple que tout le monde en souffre, qu’il faut « prendre son mal en patience », « que ce n’est pas dangereux », « que cela ne sert à rien de se plaindre… »
Parallèlement à la banalisation, il est courant d’observer un sentiment d’impuissance; chez les praticiens, dont les conseils sont rarement respectés sur du long terme et auprès des patients qui rêvent d’une solution « miracle ».
De plus, les lombalgies, sans être dangereuses, peuvent néanmoins avoir un grand impact sur la qualité de vie de la personne qui en souffre et son entourage. Tout particulièrement lorsque ces douleurs deviennent chroniques. Certaines personnes ont ainsi l’impression qu’elles doivent juste se contenter de « souffrir en silence », et/ou que le corps médical n’offre pas de solution efficace. Ce ressenti peut, sur du long terme, bousculer l’humeur, donc l’état psychologique de la personne qui souffre. Or, nous n’insisterons jamais assez : pour éviter que la douleur ne devienne chronique, il faut que la personne elle-même applique, de façon quotidienne, presque chroniquement, ce que les intervenants indiquent et ce, même si la médication apparaît banal. Autrement, les lombalgies peuvent devenir un réel poids dans le quotidien.
La notion d’impuissance, souvent ressentie lorsque la lombalgie devient chronique, peut amener à exprimer un vécu de trop plein : « j’en ai plein le dos,… », « C’est toujours moi qui- porte tout », « cela devient trop lourd à porter pour mes épaules ».
Lorsque les lombalgies deviennent chroniques et que des ressentis de ce type sont exprimés, la psychologie peut également aider à soulager la douleur. Le corps exprime souvent des choses que la personne
n’arrive pas à mettre en mot. Dans ce cas de figure, les douleurs comme des lombalgies chroniques seraient une sorte de signal d’alarme pour faire comprendre que certaines choses, devenues trop lourdes, doivent changer ou stopper.
Aborder ses douleurs chroniques avec la psychologue peut aider à faire le point sur des situations spécifiques. Par ailleurs, la psychologue peut aider à mettre en place des stratégies, une façon de s’organiser pour se dégager du temps pour soi dans le but de bien prendre soin de soi.
Il ne faut donc jamais hésiter à consulter la psychologue pour faire le point sur un sujet tel que celui de là.
La brucellose est une affection contagieuse qui touche principalement les bovins et qui est provoquée par la bactérie Brucella abortus. La brucellose est en outre une affection zoonotique. Cette maladie peut se transmettre à l'homme lors de la manipulation de matériel...
Les salmonelloses sont des maladies provoquées par des entérobactéries du genre Salmonella. Les salmonelloses humaines se répartissent en deux catégories : spécifiquement humaines : fièvre typhoïde, parathyphoïdes A et B d’origine animale : les seules à retenir ici,...
L'influenza aviaire ou grippe aviaire est une maladie virale très contagieuse, à laquelle probablement toutes les espèces avicoles sont sensibles. La maladie a, en tout cas, été constatée chez différentes espèces de volaille (canard, oie, poule, dinde, faisan,...
La lombalgie, souvent très invalidante pour le patient est l’une des pathologies les plus traitée par les kinésithérapeutes. Il est souvent nécessaire de détendre en profondeur les muscles et les articulations. Il faut également stimuler la circulation sanguine dans la région de la colonne vertébrale afin d’amener un relâchement des nerfs et du système nerveux.
Le kinésithérapeute va agir en fonction des besoins du patient. Divers outils peuvent être utilisés tels que les exercices thérapeutiques, l’électrothérapie, le massage, les tractions vertébrales, la balnéothérapie, la contention lombaire, la thermothérapie, la réflexologie et la cryothérapie.
Le traitement sera aussi influencé par l’état d’esprit du patient. Une collaboration thérapeute/patient est indispensable au bon déroulement du traitement. Le patient doit se ménager en période de crise et ne pas reprendre les activités trop rapidement. Il faut faire attention car ce n’est pas parce que la douleur diminue que le problème est réglé !
Le kinésithérapeute a pour but de permettre au patient de reprendre ses activités dans les meilleures conditions.
La rééducation tentera de prévenir les rechutes.
La colonne vertébrale souffre dans toutes les situations de la vie courante tant au travail qu’en dehors.
Il existe des précautions simples pour pallier à cela :
Ne pas tourner le tronc pendant qu’on porte une charge. Tourner tout le corps lorsqu’on porte la charge.
Soulever en prenant appui sur les jambes et garder la charge près du corps. Eviter de soulever au dessus de l’épaule.
Plier les genoux plutôt que le dos.
Ne pas se pencher en avant en gardant les jambes tendues.
Quand la charge est trop lourde ou de grande dimension, demander de l’aide.
Porter des chaussures stables et choisir une bonne prise.
Ne pas rester longtemps dans la même position.
Poser un pied sur un tabouret ou sur un marche pied.
Il est préférable de dormir sur un support assez dur. Le matelas doit s’enfoncer modérément, de sorte que la colonne vertébrale soit à l’horizontale quand on est couché sur le côté.
Meilleure position pour dormir: sur le côté avec les jambes repliées.
Eviter les matelas trop souples et les coussins et sièges qui s’enfoncent.
Si on se couche sur le dos, placer un coussin sur le dos.
Dormir sur le ventre est déconseillé pour le dos.
Rouler sur le côté
Plier les jambes et les laisser descendre le long du lit.
Pour se redresser, prendre appui sur le coude et puis sur la main.
Choisir une chaise suffisamment basse, de manière à ce que les pieds reposent à plat sur le sol et que la cuisse soit à l’horizontale.
On peut aussi poser les pieds sur un support.
Rapprocher la chaise autant que possible du plan de travail.
Il est aussi conseillé de pratiquer une activité physique régulièrement: le vélo, et nager sur le dos sont excellents pour entretenir les capacités physiques, assouplir le dos, renforcer les muscles abdominaux, dorsaux, et des jambes.µ
Il faut prendre plaisir à faire des exercices d’entretien physique!
Prenez soin de votre dos ou sinon tôt ou tard, votre dos pensera à vous !
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Une lombalgie est un terme médical désignant des douleurs en bas du dos et précisément au niveau des lombaires.
Une lombalgie commune est une douleur d’origine rachidienne (le rachis = la colonne) sans cause tumorale, inflammatoire, infectieuse ni métabolique osseuse fragilisante.
Alors qu’à l’inverse, une lombalgie symptomatique est liée à une cause telle qu’un cancer, une infection…
Selon leur durée d’évolution, on distingue les lombalgies aiguës (< 4 semaines), subaiguës (4 à 12 semaines), et chroniques (>12 semaines).
En pratique, une lombalgie aiguë peut aussi se référer à la sévérité du tableau. La lombalgie aiguë peut ainsi être définie comme une douleur survenant brutalement à l’occasion d’un effort ou d’un simple mouvement du tronc, qui date de moins d’un mois et dont l’intensité douloureuse est telle qu’elle entrave les activités quotidiennes habituelles.
Une lombalgie peut être associée à des douleurs allant de la fesse, jusqu’à la face postérieure de la cuisse
voire jusqu’au genou et à l’arrière du pied.
Diverses structures anatomiques sont impliquées dans l’apparition d’une lombalgie. Chez les plus jeunes, le problème vient souvent d’hernie discale ou tout simplement de problème mécanique. Une hernie discale est un problème du disque (sorte de coussin d’eau) qui se trouve entre deux vertèbres .
Les problèmes mécaniques sont souvent des contractures musculaires liées à de mauvaises positions ou à des mauvais mouvements quotidiens. Chez les personnes plus âgées, il y a plutôt une atteinte dégénérative disco-vertébrale c’està-dire une usure des disques et des vertèbres. Cela entraîne des douleurs et a aussi des répercussions au niveau musculaire ce qui engendre des tensions.
En pratique, il est souvent impossible de savoir exactement d’où vient la lésion car l’origine réelle est multifactorielle (= plusieurs causes différentes qui s’accumulent).
Certains actes ou certains comportements vont augmenter le risque des patients à avoir des maux de dos. Facteurs de risque: certaines positions de travail, le fait de porter régulièrement des charges lourdes, le fait de ne pas pratiquer de sport, le port de mauvaise chaussure, la manière de porter son sac de cours ou de porter son enfant dans ses bras, dormir sur un mauvais matelas ou s’asseoir tout le temps dans un mauvais fauteuil/canapé……
Il est donc important de faire attention à tous ces comportements du quotidien!
Les traitements immédiats sont souvent des anti-douleurs et de la kinésithérapie pour soulager les patients mais le réel travail pour se traiter se fait sur du long terme et demande des efforts de la part du patient. Il faut éviter les récidives en adaptant ses habitudes. Il faut respecter ce que l’on appelle les règles d’hygiène vertébrale dont nous allons parler dans le reste du numéro et dont vous pouvez parler avec votre médecin et votre kiné!!
La brucellose est une affection contagieuse qui touche principalement les bovins et qui est provoquée par la bactérie Brucella abortus. La brucellose est en outre une affection zoonotique. Cette maladie peut se transmettre à l'homme lors de la manipulation de matériel...
Les salmonelloses sont des maladies provoquées par des entérobactéries du genre Salmonella. Les salmonelloses humaines se répartissent en deux catégories : spécifiquement humaines : fièvre typhoïde, parathyphoïdes A et B d’origine animale : les seules à retenir ici,...
L'influenza aviaire ou grippe aviaire est une maladie virale très contagieuse, à laquelle probablement toutes les espèces avicoles sont sensibles. La maladie a, en tout cas, été constatée chez différentes espèces de volaille (canard, oie, poule, dinde, faisan,...
Le psychologue est un professionnel de la santé, spécialisé dans la « santé mentale ». Comme dit précédemment, la santé intègre la notion de bien-être mental. Le fait de ne pas souffrir d’une maladie n’est pas suffisant pour considérer que nous sommes en bonne santé !
Cette question est probablement la plus souvent posée. D’ailleurs, très souvent, les personnes ont une image négative de la psychologie et n’osent pas consulter, ou s’inquiètent quand elles apprennent qu’une personne de leur entourage consulte un psychologue.
Qui n’a jamais entendu l’expression : « si on a besoin d’un psychologue c’est qu’on est fou ! ».
Un psychologue, c’est tout simplement un intervenant de plus dans le secteur médical permettant de prendre soin de soi.
La consultation dure environ 1 heure, car il est essentiel de pouvoir avoir le temps de s’exprimer calmement, et à son aise. La consultation est une sorte d’échange. Le thérapeute est assis en face de la personne, tout comme s’il s’agissait d’une discussion.
Tout le monde peut rencontrer un jour des difficultés. Comme des évènements de vie douloureux (crise de couple, séparation, décès, agression,…), un mal être plus flou qui n’est pas lié à des problèmes médicaux spécifiques mais qui pourtant perturbent le bien-être général (insatisfaction, trouble de l’humeur, trouble du sommeil, douleurs,…). Il arrive que la souffrance ne soit pas simplement passagère et qu’elle provoque à long termes des problèmes relationnels variés pouvant déséquilibrer plus ou moins fortement la vie de tous les jours. Ou parfois les solutions trouvées par la personne souffrante n’apportent pas le soulagement recherché. Dans tous ces types de situations, la notion de bien-être dont parle l’OMS n’est pas ou plus présente et la consultation psychologique a toute sa place. Elle aide la personne à puiser dans ses ressources pour éviter que la situation ne s’aggrave ainsi qu’à trouver des solutions stables
dans le temps.
La consultation dure environ 1 heure, car il est essentiel de pouvoir avoir le temps de s’exprimer calmement, et à son aise. La consultation est une sorte d’échange. Le thérapeute est assis en face de la personne, tout comme s’il s’agissait d’une discussion. Mais une discussion qui permet la réflexion sur le ou les problèmes rencontrés. La neutralité et l’absence de jugement sont essentielles dans le travail du psychologue. On peut donc définir le cabinet du psychologue et la consultation psychologique comme un « lieu » et un « moment d’expression libre ».
Toute personne peut décider d’elle-même de consulter un psychologue sans avoir besoin d’autorisation médicale. Il arrive par contre que le médecin conseille de consulter le psychologue. Mais le choix d’y aller ou de ne pas y aller, appartient à la personne.
Dans sa façon de travailler, le psychologue se centre principalement sur les émotions de la personne et sur la façon dont les choses sont ressenties et vécues par elle. Il ne s’agit donc pas d’une enquête où l’on cherche à connaitre une sorte de vérité. Il est avant tout question de la vie émotionnelle telle qu’elle s’exprime au moment de la consultation. La spécialisation du psychologue étant de connaître le fonctionnement psychique et mental de l’être humain, les échanges, durant les séances, et les réflexions communes qui en ressortent ont pour but d’aider à mieux comprendre les choses et à envisager de nouvelles solutions.
La durée du suivi est très variable d’une personne à l’autre. Certaines personnes se sentent fortement aidées et entament ce que l’on appelle « un travail thérapeutique ». Dans ce cas de figure, la thérapie peut durer autant de temps que la personne estime que cette thérapie l’aide. Ces personnes consultent généralement tant qu’elles estiment que la thérapie les aide à avancer. D’autres personnes arrêtent plus ou moins rapidement : parce qu’elles ont eu la réponse qu’elles cherchaient, qu’elles ne se sentaient pas prête ou tout simplement qu’elles
« n’accrochent pas »,…
La consultation chez un psychologue est un espace d’expression libre, la personne est donc libre d’y venir autant de fois qu’elle le souhaite ou d’y mettre fin sans qu’elle n’ait besoin de se justifier. Cette liberté signifie aussi que chaque
personne parle de ce dont elle décide de parler. Consulter un psychologue ne signifie donc pas qu’il faut absolument
« ouvrir toutes les portes de son jardin secret ».
Tout à fait. Et d’ailleurs, il est obligé de respecter le secret professionnel. Il est donc tout à fait possible d’exprimer des choses à son psychologue que l’on ne dirait pas forcément à son médecin traitant. Et inversement d’ailleurs ! La notion de secret professionnel est notion légale. Autrement dit, un psychologue pourrait ainsi perdre son titre s’il devait « trahir » une personne
La première réponse est la plus simple : les personnes qui n’ont jamais consulté ne savent pas ce qui se dit ou se fait dans le cabinet d’un psychologue. Par comparaison, il est par exemple plus facile d’imaginer une consultation chez un médecin, un kinésithérapeute, une infirmière, une diététicienne, une pédicure,…
La deuxième réponse concerne justement le secret professionnel. Ce qui s’y dit reste souvent secret et ce n’est pas toujours évident d’envisager que le psychologue puisse savoir des choses que d’autres personnes, parfois très proches, ignorent. Ce type de situation peut déranger ou carrément faire un peu peur.
Le psychologue n’abordera pas de la même façon ces différents diagnostics. À chaque problème son approche particulière. Tout comme chaque maladie ou souffrance à son traitement.
La durée du suivi dépendra de la gravité de la situation. Il arrive que des personnes mettent beaucoup de temps avant de réaliser qu’elles souffrent d’un épuisement professionnel. La première étape essentielle sera de décoder ce qui a favoriser l’installation du Burnout sur le plan privé et professionnel. C’est une phase de décodage. Ensuite, il faudra envisager un travail sur l’affirmation de soi (assertivité), la façon de mettre en place et reconnaitre ses propres limites.
La fin d’un traitement consistera généralement en une mise en place de scénario anticipatif avant de reprendre l’activité professionnel et la dernière étape consistera à renforcer ou consolider les acquis.
Même si on retrouve des symptômes communs et caractéristiques, la dépression est une maladie dont la forme d’expression est très différente d’une personne à l’autre. Généralement, le psychologue doit remonter dans l’histoire de la personne pour comprendre l’apparition de sa dépression. Le traitement, consiste en un suivi régulier, parfois accompagné de médication si le médecin estime que c’est nécessaire. Le traitement peut être long (de 1-3 ans) car lorsqu’une dépression est diagnostiquée, elle est souvent présente depuis un certain temps. Mais la plupart des personnes tarde à parler de leurs symptômes au médecin, par gêne, par honte, par culpabilité, ou une impression que c’est passager, et souvent, que l’on peut s’en sortir par soimême.
Or, tout comme une corde peut tout doucement s’effriter avant de lâcher, un tendon s’endommager avant de virer à la tendinite, l’état émotionnel d’une personne peut se dégrader petit à petit avant que la personne en arrive à « craquer ». Le psychologue, au fur et à mesure des séances, apporte son aide et propose des pistes pour « arriver à remonter la pente ».
La première chose que le psychologue va faire dans un tel cas c’est d’arriver à trouver des points communs. Car si la peur est beaucoup plus facile à cerner, puisqu’elle arrive dans un contexte bien précis, l’angoisse quant à elle est beaucoup plus diffuse. Le psychologue doit donc parvenir à saisir ce qui se « cache derrière une peur sans nom » avant de pouvoir concrètement aider la personne à l’affronter.
Ce type de suivi peut être très rapide comme un peu plus long.
De manière générale, le psychologue cherche à faire en sorte que la personne atteigne un bien être émotionnel et que ce bien-être soit efficace et stable de le temps. Le but n’étant pas de garder indéfiniment les gens en thérapie sans qu’il n’y ait de résultat concret.
Pour toute question concernant la psychologie et sa pratique, n’hésitez pas à contacter la psychologue de notre centre.
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Les émotions, comme le stress, ont une influence direct sur diverses fonctions telles que la respiration, le rythme cardiaque, la transpiration… Mais, de toutes ces fonctions, seule la respiration peut être contrôlée. Il est donc possible d’interagir avec nos émotions en contrôlant notre respiration.
Alors en respirant correctement à nouveau, nous pouvons diminuer notre stress … mais comment le faire?
Au cours d’une journée, nous accumulons parfois du stress. Ces tensions de la vie nous amène à des postures incohérentes. En cas de stress, nous avons tendance à relever nos épaules, serres les fesses ou de façon générale, à contracter nos muscles.
Le meilleur moyen de prévenir ces problèmes est de garder des muscles souples. Il faut faire des étirements tous les jours et de préférence entre 17h et 20h dans un endroit calme.
S’allonger sur le dos, lors de l’inspiration s’étendre le plus possible du bout des doigts jusqu’au bout des orteils, assez fortement et sans à-coup jusqu’à sentir des tensions légères sur tout l’arrière du corps. Relâcher à l’expiration. Cette posture étirant le dos et l’arrière des jambes agit sur les organes internes (automassage des viscères). Elle permet aussi d’oxygéner le cerveau (tête en bas) et de chasser les tensions nerveuses.
Debout, se pencher vers l’avant jambes tendues, jusqu’à sentir le dos tirer légèrement. Respirer profondément. A chaque expiration laisser le corps descendre naturellement, sans forcer. Plier les genoux pour vous redresser.
Une fois droit vous pouvez également étirer les muscles latéraux en montant les bras tendus, visez le plafond mais légèrement décalé vers le côté droit puis gauche.
À quatre pattes, les mains et les genoux dans l’axe des épaules et des hanches, laisser le dos se placer dans sa position naturelle. Les pieds sont tendus et la tête dans le prolongement de la colonne vertébrale. Le ventre est contracté. Inspirer lentement en creusant le dos. Bomber le torse (en poussant la cage thoracique vers l’avant pour former un joli arrondi) et redresser la tête (menton relevé et regard vers le ciel). Puis, toujours lentement, expirer en arrondissant le dos et en baissant la tête (menton rentré et regard vers le sol)
Allongé sur le dos, les deux jambes pliées, un pied (droit par exemple) va venir se poser sur le genou opposé (gauche), attrapez ensuite la cuisse sur laquelle le pied est posé (gauche) et l’amener vers le buste jusqu’à sentir des tensions dans la fesse. Maintenir la position au moins 30 secondes puis inverser les jambes.
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