La boîte à outils

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La boîte à outils

woman biting pencil while sitting on chair in front of computer during daytime

Au plus vous développerez de nouvelles ressources, au mieux vous parviendrez à gérer votre stress. Dans cette optique, nous vous proposons ici quelques pistes pour vous inspirer mais surtout n’hésitez pas à en inventer plein d’autres !

  • Faites une liste de vos petits plaisirs et, chaque jour, accordez-vous-en au moins un. Ayez tous les jours une action ET une pensée positive. Ayez des pensées positives envers les personnes qui vous entourent. Un peu comme un aimant cela amène à des pensées positives envers vous !
  • Trouvez des chansons qui vous apaisent et vous font penser à des choses agréables, faites-en des playlist et écoutez-les dès que nécessaire. La musique de Mozart est scientifiquement reconnue pour faire baisser la tension artérielle et le degré de nervosité !
  • Renouez avec la simplicité et la beauté de la nature. Observez les animaux, les végétaux qui vous entourent ou partez à leur rencontre, portez un regard bienveillant sur ces choses simples.
  • Partez à la recherche de citations qui peuvent vous soutenir en cas de coup dur. Il en existe énormément en parcourant les rayons littéraires, ou internet, vous trouverez inévitablement des proverbes soutenants aptes à vous apporter du réconfort.

Nous vous en proposons quelques-uns :

  • « La joie est en tout, il faut l’extraire » Confucius
  • « Même un voyage de mille lieues commence par un pas » Proverbe japonais
  • « Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse » Proverbe arabe
  • « Le bonheur est une habitude à cultiver » Proverbe britannique
  • « C’est en vain qu’on cherche au loin son bonheur quand on oublie de le cultiver soimême » Jean Jacques Rousseau
  • « La meilleur façon de ne pas avancez est de suivre une idée fixe » Jacques Prévert
  • « Lorsque l’esprit connaît la tranquillité il soumet l’Univers tout entier »
  • Tchouang-tseu
  • « On ne va jamais aussi loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va » ChristopheColomb
  • « L’hiver ne dure que jusqu’au printemps » Lao-tseu
  • « Au lieu de se plaindre de l’obscurité, mieux vaut allumer la lumière » Conficius
  • Ayez toujours en réserve une phrase qui vous fait sourire

En cas de « stress panique » faites l’exercice suivant en plusieurs étapes :

  1. Amener à votre esprit des images apaisantes : un lieu, une activité, une per sonne, ou tout ce qui vous amène une énergie positive.
  2. Lorsque la représentation est bien présente à l’esprit, cherchez à vous reconnecter aux sensations précises qui lui sont liées.
  3. Lorsque ces sensations sont ressenties physiquement, il faut les garder en vous, en apportant du soin à sa respiration.
  4. Ensuite il faut respirer lentement, calmement et profondément tout en mentalisant ces sensations. Maintenir cela conscient pendant plusieurs minutes pour que l’effet apaisant perdure.
shallow focus photography of books
woman doing yoga meditation on brown parquet flooring

Pour réduire un ressenti de stress panique il est aussi très utile de :

  • Bouchez sa narine droite pour inspirer profondément par la narine gauche, et ensuite boucher sa narine gauche pour expirer profondément par la narine droite. Répétez l’action durant 1-2 min
  • Faites de la place aux jeux de société, il en existe pour tous les goûts et sont disponibles en location dans les ludothèques. Rien de tel pour nouer des liens et instaurer une bonne humeur durable tout en créant de nouveaux souvenirs positifs.
  • Pratiquez régulièrement la méditation qui vise à calmer le mental. Cette pratique datant de millénaires est accessible à tout le monde. Elle permet d’obtenir le calme intérieur. Pour y arriver il faut respecter quelques étapes :
  • Se trouver un espace calme où l’on ne sera pas dérangé pendant 10-20 min
  • En position assise, le dos bien droit, les yeux fermés ou mi-clos il faut porter son attention sur sa respiration, sans rien forcer
  • Observer les pensées qui passent mais sans les suivre, ni vous y attacher et sans y porter de jugement
  • L’esprit est calme, attentif mais sans réflexion

La méditation favorise la paix intérieure, la concentration et levcalme émotionnel. De très nombreuses études scientifiques ont démontrés un effet sur la réduction du stress et de l’anxiété.

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Approche psychologique du SIDA

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Qu’est-ce que le SIDA ?

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Le changement et l’adaptation

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Le changement et l’adaptation

selective focus photo of baby playing activity cube

Le changement :

Le terme « changement » fait référence au passage d’un état, d’une situation, à l’autre. Ce passage peut se produire à différents niveaux et dans plusieurs domaines. En fonction de la nature, de la durée et de l’intensité de ce passage, on pourra y voir une modification, une évolution, une révolution, ou encore une métamorphose. Humainement, le changement suscite d’office des réactions diverses et variées pouvant aller d’un extrême à l’autre. De l’espoir le plus fou à la détresse la plus intense. Lorsqu’il se produit de façon naturelle, et dans le respect des cycles de vies, le changement nous permet de grandir, de nous épanouir, de construire et d’évoluer. La mise en couple, la création d’une famille en sont de bons exemples. Dans ce cas il est connoté positivement car il est constructif et nous fait avancer dans la vie, ce qui est gratifiant. L’adaptation dans ce cas est généralement plus facile. Dans le cas contraire, lorsqu’il est synonyme de rupture et de pertes par exemple, il apparaît particulièrement déstabilisant.

L’adaptation :

Ce terme désigne l’ajustement d’un être vivant à son milieu. Sur le plan biologique, l’adaptation correspond à la mise en accord d’un organisme vivant avec les conditions qui lui sont extérieures. Les plantes des pays chauds par exemple seront moins demandeuses en eau. Sur le plan psychologique, l’adaptation consiste à modifier son comportement de façon à évoluer en harmonie avec son environnement et garantir un équilibre psychique.

Le lavage systématique des mains par exemple apporte un sentiment de protection. Ces deux définitions de l’adaptation apparaissent particulièrement familières tant elles concernent notre nouvelle réalité de ces derniers mois. Nous devons en effet nous adapter physiquement en développant une immunité et au niveau comportemental en respectant de nouvelles règles.

a small lizard is sitting on the ground
a person holding a baseball bat

Les stratégies d’adaptation ou « Coping » :

Le terme de « coping » vient de l’anglais « to cope with » signifiant « faire face à ». Le coping fait référence à l’ensemble des actions et des processus que l’on imagine (domaine de la pensée) et que l’on met en place (domaine de l’action) pour faire face à une source de stress. Cela correspond donc à toutes les stratégies d’adaptation auxquelles on a recours pour maîtriser l’impact sur le physique et le mental. On distingue deux types de coping :

Le coping centré sur le problème :

Dans ce cas on contrôle ou on modifie la source de stress en elle-même pour trouver une solution directement. Cela passe aussi par une recherche de compréhension du problème. Il s’agit d’un processus dynamique et d’affrontement des choses. Par exemple : chercher des informations, élaborer des plans, développer des nouvelles compétences, etc…

Le coping centré sur les émotions :

Dans ce cas on cherche à gérer une situation au niveau émotionnelle. Par exemple : trouver du réconfort auprès de proches, faire une activité qui détend, etc

Un coping est dit adaptatif lorsqu’il mène à la gestion du problème. Dans ce cas le coping apporte un état émotionnel positif, permettant au sujet de maîtriser ou de diminuer l’impact de l’évènement sur le physique ou le mental. La personne dans ce cas perçoit qu’elle a le pouvoir de contrôler sa vie. La recherche a démontré que les personnes ayant de nombreuses stratégies d’adaptation vivent moins d’expérience négatives ! Autrement dit, le bien être est lié à la qualité d’adaptation de l’individu. Il est donc très bénéfique de développer au mieux ces compétences adaptatives.

« Stress » et Changement :

Tout changement, quel qu’il soit, amène à un stress. Cela fonctionne de façon assez systématique : Une modification dans notre environnement, donc un changement, engendre une nécessité d’adaptation. L’énergie permettant de conscientiser cette nécessité c’est le stress.

Le stress est donc une réaction aussi normale que nécessaire à l’organisme car il fournit une sorte d’impulsion. Un peu comme un déclic nécessaire à la mise en route d’un moteur. La manifestation du stress est le résultat d’une réaction hormonale en chaîne dans laquelle interviennent cinq hormones :

L’ACTH : hormone corticotrope qui est sécrétée par une glande située à la base du cerveau nommée l’hypophyse. Son rôle est de stimuler les glandes surrénales, qui, à leur tour, libèrent le cortisol.

Le cortisol : dont le but est de fournir au cerveau un apport énergétique suffisant pour disposer de l’énergie nécessaire pour faire face au stress. Il permet notamment la régulation de la tension artérielle, des fonctions cardiovasculaire et immunitaire. Le lien avec le système immunitaire mérite notre attention en cette période de lutte contre un nouveau virus. Nous en parlerons plus loin.

L’adrénaline prépare l’organisme à faire face au stress : le rythme cardiaque et la respiration s’accélèrent, la pression artérielle augmente.

L’ocytocine qui influence notre comportement en société. Surnommée hormone d’attachement, elle est particulièrement impliquée dans la relation mère-enfant. Nous ne la produisons aussi pas le toucher ! Or, la distanciation sociale force à éviter le toucher

La vasopressine appelée hormone antidiurétique permet de réguler les fonctions urinaires et la pression sanguine. Elle intervient dans la gestion de l’anxiété.

Le vécu du stress peut avoir des valeurs positives ou négatives. On lui attribuera une valeur positive lorsqu’il donnera l’énergie nécessaire pour mener à bien des objectifs et projets exaltants. Il amènera dans ce cas des ressentis de légèreté. Dans d’autres circonstances, quand des changements s’imposent sans laisser de choix, le stress aura une valeur négative. Il apparaitra comme fortement déstabilisant et amènera des ressentis de lourdeur. Au-delà de ces concepts, nous pouvons distinguer deux types de stress : le stress relatif et le stress absolu.

woman biting pencil while sitting on chair in front of computer during daytime
Woman Sitting in Front of the Laptop Computer in Shallow Photo

Le « stress absolu » :

Il se produit lorsque l’on fait face à une situation menaçante pour notre survie. Lors d’un stress absolu, les hormones de stress produites ont un impact sur notre cerveau et elles ont le pouvoir de modifier notre façon de percevoir les choses ! Cela nous permet d’être plus en alerte et d’avoir nos sens plus aiguisés. Ceci s’explique par la nécessité archaïque d’activer un instinct de survie. Comme avoir la capacité de détecter la menace et fuir face au danger par exemple.

Notre perception modifiée en cas de stress absolu n’est donc pas forcément des plus fiables, rationnellement parlant, et peut favoriser une perte d’esprit critique. Ce phénomène mérite notre vigilance en cette période de crise sanitaire. Car dans ce contexte de stress absolu le niveau de stress est entretenu par un flot médiatique anxiogène et envahissant, dont il n’est pas toujours évident de démêler le vrai du faux. Nous nous retrouvons aussi dans une sorte de paradoxe. L’information est utile et parfois nécessaire pour adapter notre comportement à la nouvelle situation. La connaissance peut nous donner un sentiment de contrôle sur la situation et même nous sauver.

Mais lorsqu’elle est omniprésente et unilatérale, comme c’est le cas ces derniers mois, elle devient source de stress. Autrement dit, ce qui est censé nous sortir de l’eau est aussi ce qui a tendance à nous y faire replonger !

Au-delà de ce paradoxe, nous pouvons évoquer la notion de temporalité. Le stress absolu est censé se vivre de manière temporaire. Cette crise sanitaire quant à elle persiste et nous ignorons le temps que cela prendra encore. Ce qui nous amène à vivre un stress absolu de façon chronique.

Or, le stress vécu de manière chronique devient toxique pour le corps et l’esprit. Il est donc essentiel, voire vital, de disposer de ressources qui nous permettent de dompter ce type de stress.

Le « stress relatif » :

Plus modéré, il survient lorsque l’on fait face à des contrariétés de la vie de tous les jours. Des situations qui nous confrontent aux quatre caractéristiques suivantes :

  • Contrôle faible
  • Imprévisibilité
  • Nouveauté
  • Égo menacé

Imaginons un exemple tout simple : la nécessité de travailler avec un nouveau programme informatique. Cette situation peut apparaître stressante en donnant l’impression que l’on ne gère pas le nouveau programme (contrôle faible), que l’on ne s’attendait pas à cette nécessité (imprévisibilité), que l’on doive s’adapter à quelque chose que l’on ne connaît pas (nouveauté) et que l’on risque de passer pour quelqu’un qui n’est pas très doué (égo menacé).

Cette situation paraît simple et banale. Pourtant, sur le plan physiologique, chaque fois que nous sommes confrontés à une de ces quatre situations, nous produisons une réponse similaire à celle du stress absolu !

Autrement dit, chacun de ces quatre points amène la réaction hormonale décrite plus haut. Nous reviendrons sur ces questions dans le volet :

Apprendre à gérer son stress.

Man in Black Shirt and Gray Denim Pants Sitting on Gray Padded Bench
Photo Of Man Touching His Head

Stress et qualité du système immunitaire :

La recherche médicale a mis en évidence l’impact du stress sur l’efficacité de l’immunité. Le stress active une structure cérébrale, l’hypothalamus, qui ensuite produit les hormones de stress. Ces hormones, dites neurohormones, activent les réponses de l’organisme décrites. Pour cela elles doivent transmettre des informations à un certain nombre de cellules, et notamment aux cellules immunitaires. En transmettant les informations, pour activer leur action spécifique, les hormones agissent sur les cellules cibles, grâce à un système de « clé ».

Le mécanisme est le suivant : chaque cellule dispose d’une membrane (enveloppe) sur laquelle figurent des récepteurs. Ceux-ci sont comparables à des « serrures », dans laquelle peuvent rentrer des « clés » correspondant à l’information en provenance de l’hormone.

Lorsque le stress devient chronique, c’est un peu comme si plein de clés venaient abimer la serrure. Et les cellules immunitaires se retrouvent épuisées. Par conséquent, elles ne jouent plus correctement leur rôle de défense de l’organisme.

Actuellement nous sommes dans une situation où l’on subit un stress absolu, de façon chronique, et ce, à une période où notre système immunitaire devrait être justement plus efficace !

Cet état de stress absolu est entretenu par les médias anxiogènes. Et entre les réseaux sociaux et les journaux  télévisés, il est facile de se retrouver exposé en boucle à des stimulations négatives. Ce qui renforce l’état de  stress chronique. Lorsque l’on sait l’impact de l’émotionnel sur le physique, il est urgent d’agir.

La bonne nouvelle c’est que nous avons la possibilité d’influencer notre esprit et donc d’agir sur notre bien-être mental. Car aussi complexe que soit le cerveau, il croit ce qu’on lui dit ! Dans cette idée, des expériences menées en psychologie ont pu démontrer que se forcer à sourire amène à une sensation de bien-être. Ce qui s’explique par le fait que la musculature faciale sollicitée dans le sourire agit ensuite sur une structure du cerveau, l’amygdale. Elle correspond au centre émotionnel du cerveau. Ce qui va libérer des neurotransmetteurs  des substances chimiques du cerveau- qui jouent un rôle essentiel dans le ressenti de bienêtre. Ce mécanisme peut s’utiliser au profit de la santé mentale.

Après des mois d’inquiétude et de stress, nous vous proposons donc des pistes pour agir efficacement sur votre niveau de bien-être. Il s’agit de provoquer un cercle vertueux. Cela consiste à reprogrammer positivement votre cerveau. Et lorsque l’on s’applique, oui, ça marche !

Man Standing in Front of Window
Woman In Collared Shirt

En vous dirigeant consciemment vers des choses qui vous font du bien et qui vous apporte du plaisir, de la joie, vous cultivez les émotions positives et vous favorisez la production de plusieurs neurotransmetteurs essentiels à votre équilibre émotionnel. Il en existe de nombreux, mais nous allons nous centrer sur quatre d’entre eux :

  • La dopamine : fortement liée au plaisir elle permet de ressentir des sentiments de satisfaction, d’appétit de vivre et de motivation.
  • La sérotonine : impliquée dans l’optimisme, la joie de vivre et la régulation du sommeil. Elle a un effet antidépresseur.
  • L’acétylcholine : associée à la créativité, l’intuition et le goût de l’aventure.
  • Le GABA (acide gamma-aminobutirique) favorisant la prise de recul et la bienveillance

Les chercheurs en neurosciences se sont penchés sur les conditions à réunir pour que notre cerveau produise ces neuromédiateurs. Il en ressort deux constats :

  • L’activité sportive favorise la production de la dopamine (sensations de plaisir et de satisfaction) et la sérotonine qui régule l’humeur et les émotions
  • Lors d’une tâche, la concentration, donc le fait d’être pleinement attentif à ce que l’on fait favorise aussi la production de ces neurotransmetteurs.

Il ne tient donc qu’à vous d’instaurer un cercle vertueux pour faire de ces substances neurochimiques des alliés de votre équilibre émotionnel. Il s’agit d’une adaptation nécessaire pour réguler la chimie de notre cerveau particulièrement bouleversée ces derniers mois.

Dans la suite de cette newsletter, nous allons vous transmettre des outils pratiques et concrets pour y parvenir.

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Les Dangers de l’Abus des Écrans sur la Santé

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L’abus d’utilisation des écrans que ce soit gsm, tablettes, ordinateurs ou TV n’est pas seulement nuisible à notre santé mentale mais peut aussi engendrer des symptômes physiques qui auront un impact sur votre vie quotidienne.

person lying on bed while covering face with pillow and holding eyeglasses

Troubles du sommeil

Il a été mis en évidence qu’une utilisation du smartphone après 21 h nuisait à la qualité du sommeil et impliquait une grande fatigue le matin. Par conséquent, il existe aussi lié à cette fatigue une baisse de la motivation au travail. L’une des explications pouvant expliquer la plus grande nocivité des smartphones par rapport aux autres appareils serait le type de lumière qu’ils émettent. Ce type de lumière aurait une influence négative sur la production de mélatonine, une substance chimique sécrétée par notre organisme et favorisant le sommeil. Des recherches ont montré que la rétine renferme des cellules ganglionnaires à mélanopsine, remplissant une fonction non visuelle. Selon la lumière qu’elles reçoivent, ces cellules activent le noyau responsable du sommeil. Ainsi, plus la lumière est de forte intensité et dans les teintes bleues, plus elle retarde l’horloge biologique. Or cette horloge biologique est là pour vous permettre de réguler les différentes activités de la journée : réveil, manger, endormissement…

Céphalées

Pour les mêmes raisons qu’exprimées ci-dessus, les lumières des écrans quel qu’ils soient entraînent des maux de tête qui peuvent devenir quotidiens si vous travaillez beaucoup sur ordinateur ou avec votre smartphone. De plus, comme nous le verrons un peu plus loin, l’utilisation prolongée des écrans engendrent de mauvaises postures qui peuvent aggraver ces maux de tête, notamment par une tension des muscles cervicaux.

man in blue crew neck shirt covering his face
woman wearing blue stud earring

Troubles de l’audition

L’utilisation de notre smartphone « dépotentialise » notre sens de l’ouïe. La raison en est simple : le système auditif, support de l’ouïe, n’a pas évolué depuis le temps de la cueillette.

Il n’a aucune protection naturelle lui permettant d’amortir les sollicitations continues et, le plus souvent, à fort volume. Les journées sont ponctuées de conversations téléphoniques, d’écoute de musique via des oreillettes sur le smartphone,… Lorsque les cellules sensorielles de l’oreille sont sur-sollicitées, elles n’ont plus la capacité de transmettre au cerveau et lâchent!

De nouveau, comme vu précédemment, cette sollicitation inadéquate de notre ouïe va entraîner une fatigue cérébrale qui, à son tour, augmentera les maux de tête, les troubles du sommeil, le stress…

Troubles de la vue

Nous venons d’expliquer que la lumières des écrans est nocive sur les yeux, mais les écrans entraînent aussi des troubles de la vision tel qu’une augmentation des patients souffrant de myopie. Et cela s’observe notamment chez les enfants et adolescents, période où la vision évolue beaucoup. Il est aussi observé un phénomène de fatigue oculaire qui va aussi déboucher sur le port de lunettes pour traiter le problème.

silver framed eyeglasses on clear glass
a man sitting at a desk working on a laptop

Diminution de la concentration

Par la fatigue liée aux troubles du sommeil, les maux de tête, la fatigue oculaire, l’utilisation de smartphones intensive va aussi occasionner une diminution de la concentration et de la motivation.

De plus, si vous essayez de travailler, de pratiquer une activité physique, une activité sociale… Les notifications constantes vont causer une déconcentration car, malheureusement, on observe de plus en plus, qu’il semble plus urgent de regarder l’information présente sur le smartphone que de continuer à effectuer la tâche en cours…. Pour un enfant ou adolescent, le danger est la diminution des capacités de mémorisation ou d’apprentissage pendant les tâches telles que les devoirs à cause de toutes ces perturbations parasites !

L’abus d’utilisation des écrans que ce soit gsm, tablettes, ordinateurs ou TV n’est pas seulement nuisible à notre santé mentale mais peut aussi engendrer des symptômes physiques qui auront un impact sur votre vie quotidienne.

Atteinte musculo-squelettique

Les smartphones, tablettes et ordinateurs portables, nous facilitent bien souvent la vie, malheureusement leur utilisation prolongée n’ont pas que des effets positifs. Il y a encore peu nous consultions nos e-mails et surfions sur internet uniquement sur un ordinateur de bureau et donc de manière +/- ergonomique, c’est à dire, assis sur une chaise devant une table. L’avènement de nos précieux objets connectés nous a amené à prendre de mauvaises habitudes posturales.

Les utilisateurs de smartphones se plaignent le plus souvent de douleurs à la nuque. On a pu constater que lorsque l’on incline la tête les forces subies par le cou augmentent. Si nous maintenons notre tête dans une position saine et neutre, les forces subies par la colonne cervicale sont d’environ 4.5 kg et 5.5 kg. Or quand on regarde son smartphone la tête est en moyenne incliné à 45°, ce qui implique que notre cou subit une force de +/- 22 kg !

La tête est donc trop lourde pour nos épaules, ce qui amène notre corps à compenser pour éviter la douleur liés aux contractures. Comment est-ce qu’il compense ? En modifiant nos structures pour s’adapter. Dans ce cas-ci le plus souvent la colonne vertébrale se déforme progressivement et une fois la déformation installée, il est difficile de faire marche arrière.

Mais alors qu’elle est la « bonne position » ? Ses études ont montrés que l’on est bien positionné quand les oreilles sont alignées avec les épaules et que les omoplates sont rétractées.

L’usage prolongé des smartphones conduit aussi bien que moins fréquemment à des problèmes de dos, d’épaules, de maux de tête et de pouce. Il est donc essentiel de réguler le temps que l’on passe connecter !

man in grey crew neck t-shirt
black flat screen tv on brown wooden tv rack

Concernant l’ordinateur, il n’est plus à prouver qu’il fait partie intégrante de la plupart des postes de travail des employés. Or un écran mal placé contraint le travailleur à prendre de mauvaises postures et ce, pendant de longues heures, 5 jours par semaine, tout au long de l’année.

Comme nous l’avons vu pour les smartphones, ceci peut amener des troubles musculo-squelettiques plus ou moins graves sur du long terme. Les problèmes les plus fréquemment rencontrés chez les employés de bureau sont la fatigue oculaire, les maux de tête, les douleurs au cou, au dos et aux épaules. De même un clavier mal positionné aura des répercussions sur les coudes, poignet, doigts,…

Une attention particulière doit être portée au laptop. Pour les personnes qui travaillent sur ordinateur portable, il est essentiel d’avoir un support qui permette de surélever l’appareil. Si vous en avez la possibilité, il est également conseillé de pouvoir alterner les positions au boulot! La position assise prolongée a aussi des répercussions sur notre dos! Travailler debout serait donc une alternative intéressante car sur 60 minutes d’activité il est bon de rester assis maximum 20 minutes.

Conclusion, il est essentiel de bien surveiller sa posture lorsque l’on utilise tous nos objets connectés !

D’autant plus que l’on est vite distrait, soit par notre travail, soit par la conversation ou le jeu que l’on fait.

From above sporty calm female in gray sports bra performing Upward Salute exercise while practicing yoga in light living room

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La résilience

La résilience

La résilience

woman, worried, nightmare

Lorsque nous vivons un stress important, la sensation d’insécurité domine. Mais lorsque le « danger » disparaît, nous pouvons reprendre le cours de nos vies relativement normalement, avec le plus souvent un souvenir qui reste douloureux mais qui perd progressivement sa charge anxieuse. Le souvenir est toujours là, mais il est moins angoissant et omniprésent.

Si ce retour à la normale est possible, c’est grâce à différents mécanismes qui se mettent en place dans notre esprit, notre psychisme. C’est ce qu’on appelle la résilience, c’est-à-dire notre capacité à nous redresser après avoir fait une chute.

Nous n’avons pas vraiment conscience de notre résilience ; le plus souvent elle se fait naturellement, de façon non intentionnelle.

Ainsi le fait de recourir à l’humour par exemple n’a l’air de rien, or cela permet de prendre de la distance, du recul sur les événements. Se réfugier dans son imaginaire lors de rêves ou de balades permet également de mettre son esprit au repos et d’une certaine façon de mieux supporter le réel. L’optimisme, le fait de garder espoir, de se projeter positivement dans l’avenir est aussi une stratégie résiliente permettant de mieux supporter la situation.

Il est enfin avéré que le fait de pouvoir extérioriser ses émotions par la parole ou par l’Art peut être infiniment aidant ! Être créatif permet d’utiliser des ressources parfois insoupçonnées, de se réinventer et de découvrir de nouvelles sensations.

Mais certaines routines peuvent également nous aider. Dans ce cas il s’agit d’efforts conscients pour se sortir de la situation stressante. La méditation, le yoga, le sport,…sont toutes des routines qui peuvent être apaisantes pour le corps et l’esprit.

glass, painting, art
Woman Holding Her Head

Parfois cependant, le stress subi a été tellement intense et confrontant qu’il peut s’apparenter à un traumatisme. Ce stress a submergé la personne au point qu’elle se sente dépassée et ne parvienne plus à puiser dans toutes ces ressources que nous avons citées ici.

Dans ce cas la blessure causée nécessitera un travail accompagné par un spécialiste (psychologue, psychiatre,), afin de ne pas aggraver la situation et risquer une dépression plus grave ou un stress continuel malgré que la situation se soit améliorée.

A quoi devons-nous prêter attention ? Qu’est-ce qui devrait vous amener à penser à prendre contact avec les psychologues de la Maison Médicale, ou à en parler à votre médecin ?

Une personne traumatisée sera susceptible de développer différents types de réactions :

– Un stress continu, la peur de mourir
– Le sentiment de vivre « comme dans un rêve »
– L’impression que les autres l’ont abandonné, ne viennent pas à son secours
– L’impression qu’on cherche à lui faire du mal
– Le sentiment d’être débordé, incapable, inadapté, isolé, impuissant
– Le sentiment de ne plus être en sécurité nulle part
– Le sentiment que c’est « chacun pour soi », que l’entourage n’est plus protecteur…

Person in Black Pants and Black Shoes Sitting on Brown Wooden Chair
View of Traffic on the Streets Downtown Sao Paulo, Brazil

Prenons enfin ici le temps de faire le point sur les belles nouvelles que nous a malgré tout réservée cette période chargée en stress et peurs diverses, pour encourager cette belle ressource que constitue l’optimisme !

Les mesures de confinement ont provoqué la plus grande baisse des émissions de CO2 depuis la seconde guerre mondiale, avec pour conséquence le trou dans la couche d’ozone qui a commencé à se résorber. Comme quoi si on veut on peut.

Le trafic maritime ayant diminué, les animaux marins ont pu bénéficier d’un océan plus calme et les baleines se sont mises à discuter davantage entre elles. Le nombre d’animaux tués sur les routes a également été considérablement réduit !

Certains villes, comme Venise, ont vu leur écosystème évoluer (transparence des eaux, retour des animaux et des plantes,…) et ont décidé de se diriger vers un tourisme moins agressif, plus intelligent, plus durable et plus lent.

À Bruxelles, il a été décidé de développer davantage les espaces verts, avec l’idée que les habitants devraient pouvoir disposer à quelques minutes de chez eux/elles de bancs, de plaines de jeux et d’espace de détente. Un bureau d’études est en charge d’une vaste opération : celle de cartographier le sous-sol du Quartier Européen et le bas de Laeken afin d’indiquer où il y a assez d’espace pour que les racines des arbres puissent se développer et ensuite intégrer de nouveaux arbres partout où cela a du sens.

Mais ce qui a marqué également sont les initiatives de solidarité qui se sont déployées en Belgique, que ce soit en termes de distribution de nourriture, de lignes téléphoniques de soutien (pour les violences conjugales, pour les professionnels, …), de création et distributions gratuites de masques, et encore bien d’autres choses.

Enfin, si les nouvelles partagées sur les réseaux sociaux concernent davantage les décès et les cas graves, il est peu fait mention des personnes parfois même très vulnérables qui sont parvenues à en guérir.

Et que dire de cette nouvelle selon laquelle les enfants sont moins susceptibles de développer des formes graves de la maladie… Nouvelle certainement cruciale car elle va permettre à nos enfants de reprendre prochainement les bancs de l’école, le plus « normalement » possible. Apprentissage, mais aussi partages, amitiés, jeux,… tout cela leur a certainement beaucoup manqué !

Il est important de ne pas laisser la situation empirer et consulter un spécialiste vous permettra de sortir plus rapidement de cette période difficile.

Photo of Parc du Cinquantenaire
Three Toddler Eating on White Table

Et les enfants dans tout ça ? :

Le monde des enfants est tributaire de celui des adultes et ce qui est le plus rassurant pour les enfants, quelques soient les circonstances, c’est de savoir que leurs parents ou des adultes référents sont à leurs côtés pour les protéger.

La force du lien d’attachement est le remède le plus efficace pour les sécuriser et les soutenir. Il est également essentiel de leur laisser une place à l’expression pour qu’ils puissent verbaliser leur peur. L’anxiété de l’enfant augmente considérablement lorsqu’il ne comprend pas ce qui se passe autour de lui, la communication est donc également importante pour qu’il puisse comprendre et s’adapter lui aussi à son nouvel environnement.

Avec de mots simples et authentiques, on peut communiquer ouvertement au sujet de la situation Le challenge consiste cependant à en dire suffisamment pour qu’ils puissent comprendre mais sans basculer dans des propos trop négatifs pouvant activer de l’angoisse. Les enfants ont besoin de ressentir que les adultes font tout pour gérer la situation. Il importe de trier les informations et d’adapter son discours.

Les enfants de moins de 6ans par exemple n’ont pas la maturité pour comprendre il n’est donc pas utile de les charger avec trop d’informations s’ils n’ont pas posés de questions. Les enfants, tout comme les adultes, ont besoin de cadre et de structure. Le meilleur moyen d’y parvenir c’est de suivre des horaires et de maintenir leur routine : les horaires des repas, les devoirs, de jouer, organiser leur chambre, …

Les enfants eux-aussi disposent de compétences de résilience, mais pour y parvenir, ils ont définitivement besoin des adultes.

La résilience chez l’enfant découle directement d’une relation de qualité faite de bienveillance, de capacité d’adaptation et d’expériences positives. Donc tout ce que nous vous transmettons ici pour prendre soin de votre équilibre émotionnel est donc valable pour vos enfants. Et au plus vous prendrez soin de vous, au mieux vous pourrez les aider à surmonter leurs propres difficultés.

Les enfants disposent de beaucoup de ressources mais c’est aux adultes de les nourrir pour qu’elles puissent s’exprimer pleinement.

Nous insisterons sur quatre points essentiels : le sentiment de sécurité, la structure, la communication, et le jeu. Chaque jour, veuillez à leur accorder une place centrale.

Si vous constatez que c’est difficile, ou bien que votre enfant manifeste des signes d’anxiété tels que : l’irritabilité, des modifications du comportement alimentaire, des comportements compulsifs, … Nous vous conseillons de ne pas laisser son malaise s’installer et de consulter en psychologie.

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Céphalée de tension musculaire

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Céphalée de tension musculaire

person covering own face

Description

Ceux sont les céphalées les plus fréquentes. Elles se caractérisent par une douleur non pulsatile qui donne l’impression d’être dans un étau (un casque). Elles peuvent durer une journée comme plusieurs jours et les crises peuvent revenir plusieurs fois sur le mois.

Elles sont souvent de localisation bilatérale fronto-temporale ou occipitale ou cervicooccipitale voire même holocrânienne (toute la tête).

En général, les douleurs ne sont pas accompagnées d’autres symptômes et ne sont pas aggravées par des facteurs extérieurs (exemple: faire du sport)

Certains facteurs peuvent par contre aggraver leur survenue :

  • Manque de sommeil
  • Abus de caféine, théine, sodas (ex: Coca-cola®, Red Bull®…), d’alcool

 

Cause

Le médecin va souvent parler de « céphalée de tension ». En 1er lieu, il est important de souligner que la cause n’est pas un problème de tension type de l’hypertension. Nous parlons ici de tension musculaire.

Les muscles les plus souvent atteints sont les muscles sterno-cléido-mastoïdiens, ptérygoïdiens, trapèze, et les muscles péri-crâniens peauciers temporaux et frontaux.

Voici une photographie qui montre comment on palpe les muscles mis en cause dans les céphalées de tension.

Concrètement, on palpe au niveau de la tempe, au niveau du front, au niveau de l’articulation temporo-mandibulaire et au
niveau des muscles trapèzes, cervicaux pour essayer de voir s’il y a des « cordons » musculaires qui témoigneraient de cette tension. Vous pouvez donc même le faire chez vous et vous verrez d’ailleurs que la palpation des zones douloureuses atténuent souvent la douleur.

Jeune femme anxieuse se bouchant les oreilles avec les mains, assise sur une chaise

Traitement

Le paracétamol et les anti-inflammatoires sont utilisés en 1er intention comme traitement médicamenteux.

De plus, vu les facteurs qui favorisent la survenue de ces céphalées, il est important d’avoir une bonne hygiène de sommeil, de diminuer le coca et la caféine, d’essayer de se relaxer et de faire des étirements qui font soulager les tensions musculaires.

La kinésithérapie (dont nous parlerons plus loin) peut être utilisé pour dénouer les tensions musculaires si celles-ci sont trop importantes.

Parfois, en dernière intention, quand les céphalées sont présentes > 15 jours par mois, il est important d’envisager un traitement de fond dans ces cas là, tel que l’amitryptiline (Redomex)

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Algies vasculaires de la face ou cluster headache

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man covering his eye

Description

Ces maux de tête touchent plutôt les hommes (contrairement aux migraines qui touchent plus les femmes). La douleur est très intense, unilatérale (quasiment toujours du même côté), orbitaire (elle peut irradier vers la région frontale ou temporale). Lorsque la douleur commence, elle dure de 15 minutes à 3 heures.

Il y a toujours au moins 1 des signes suivants associés: larmoiement, œil rouge, congestion nasale, …

C’est une pathologie plus spécifique et sa prise en charge se fera souvent via un neurologue.

On ne connait pas bien les causes de cette problématique.

Traitement

Le traitement consistera en une oxygénation intensive pendant une courte période ainsi que des triptans.

man in black leather jacket

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