Le forfait, c’est quoi ?

Le forfait, c’est quoi ?

Le forfait, c’est quoi ?

Le forfait est un contrat signé entre le patient, la mutuelle et la maison médicale.

C’est un système de solidarité entre les trois parties.

a person sitting on a chair next to a person in a suit

Le patient :

− est inscrit au forfait et consulte toujours dans sa maison médicale (pour le médecin généraliste, pour le kiné, et pour l’infirmière).

− est en ordre de mutuelle et ne paye pas les consultations lorsqu’il va chez le médecin généraliste, chez le kiné et chez l’infirmière.

− ne seras pas remboursé par la mutuelle s’ il consulte un soignant extérieur sauf avec l’accord écrit et préalable de la maison médicale ou en cas d’urgence ( par exemple: en vacances à la côte).

La maison médicale :

− les médecins généralistes, les kinés et les infirmières sont disponibles pour les consultations et les visites à domicile.

− Le patient bénéficie d’un suivi global pour sa santé par une équipe pluridisciplinaire qui le connait bien.

− Le patient peut également participer aux activités que la maison médicale organise (ateliers de prévention, ateliers culinaires…).

Maison Médicale Duchesse - Pictogramme
Upset young African American male freelancer clutching head with hands after failure in project while working remotely in park

La mutuelle :

− paye chaque mois un montant fixe à ma maison médicale.

 

Sachez également que nous avons une psychologue et une diététicienne au sein de notre équipe mais ils n’intègrent pas le système au forfait. Le mode de paiement, pour ces soignants est différent, vous pouvez avoir plus d’information auprès de notre accueil.

Pour les autres visites le patient continue à payer les consultations ou soins et il est remboursé directement par la mutuelle: les spécialistes, le dentiste, les hospitalisations, …

Voici quelques informations utiles concernant le fonctionnement de la maison médicale : 

Comment s’inscrire ?

− Si vous souhaitez vous inscrire, vous devez tout d’abord vérifier si vous habitez à proximité, dans la « zone d’inscription » de la maison médicale (infos à l ‘accueil)

− Vous devez être en ordre de mutuelle.

− Vous devez remplir un formulaire à l’accueil. Votre demande d’inscription passera alors en réunion d’équipe (1x/mois) où la décision d’inscription sera prise.

− L’inscription se fait dans nos locaux, vous aurez besoin de votre carte d’identité et de vignettes de la mutuelle.

Couple During Registration in Clinic

Comment se désinscrire ?

− Vous devez prendre rendez-vous à l’accueil et signer un contrat de désinscription.

− Celle-ci prendra effet à la fin du mois. Pendant cette période, vous continuerez à être soigné à la maison médicale.

People at Registration in a Clinic
Family Unpacking After Moving

En cas de déménagement:

− Vous devez communiquer au plus vite tout changement d’adresse à la maison médicale.

− Si vous déménagez hors zone, vous devrez certainement vous désinscrire, un transfert entre maisons médicales est possible.

En cas d’hospitalisation:

− Prévenez l’hôpital que vous êtes inscrits au forfait dans une maison médiale.

− Si à la sortie de l’hôpital, vous avez besoin de soins infirmiers ou de kinésithérapie (ex: pansements, séances de kinés, ..) contactez la maison médicale dès votre sortie.

Et en dehors des heures d’ouvertures de la maison médicale ?

En dehors des heures d’ouvertures de la maison médicale, vous pouvez appeler les services de garde:

En journée: SOS médecins 02/513.02.02

Après 18h: Garde bruxelloise

02/201.22.22

White and Blue Come on in We'ere Open Signage
A Woman in White Long Sleeves Typing on Her Laptop

Comment prendre un rendez-vous ?

− Pour plus de confort pour nos patients, il n’y a plus de consultation libre ;

− Toutes les consultations se font dorénavant uniquement sur rendez-vous :

  • médecins, kinés, infirmières, psychologue et diététicienne ;

− Appelez toujours notre secrétariat pour demander un rendez-vous chez l’un de nos soignants ;

− Les téléconsultations restent possibles pour certains types de consultations :

  • médecins, psychologue et diététicienne ;

− Les consultations gynéco peuvent être prises tous les jours (du lundi au vendredi) ;

− Les consultations du samedi matin sont principalement des téléconsultations sauf en cas d’urgence jugé par le médecin.

Téléphone: 02/410.54.45

Adresse e-mail: mediduchesse30@gmail.com

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Le changement et l’adaptation

Le changement et l’adaptation

Le changement et l’adaptation

selective focus photo of baby playing activity cube

Le changement :

Le terme « changement » fait référence au passage d’un état, d’une situation, à l’autre. Ce passage peut se produire à différents niveaux et dans plusieurs domaines. En fonction de la nature, de la durée et de l’intensité de ce passage, on pourra y voir une modification, une évolution, une révolution, ou encore une métamorphose. Humainement, le changement suscite d’office des réactions diverses et variées pouvant aller d’un extrême à l’autre. De l’espoir le plus fou à la détresse la plus intense. Lorsqu’il se produit de façon naturelle, et dans le respect des cycles de vies, le changement nous permet de grandir, de nous épanouir, de construire et d’évoluer. La mise en couple, la création d’une famille en sont de bons exemples. Dans ce cas il est connoté positivement car il est constructif et nous fait avancer dans la vie, ce qui est gratifiant. L’adaptation dans ce cas est généralement plus facile. Dans le cas contraire, lorsqu’il est synonyme de rupture et de pertes par exemple, il apparaît particulièrement déstabilisant.

L’adaptation :

Ce terme désigne l’ajustement d’un être vivant à son milieu. Sur le plan biologique, l’adaptation correspond à la mise en accord d’un organisme vivant avec les conditions qui lui sont extérieures. Les plantes des pays chauds par exemple seront moins demandeuses en eau. Sur le plan psychologique, l’adaptation consiste à modifier son comportement de façon à évoluer en harmonie avec son environnement et garantir un équilibre psychique.

Le lavage systématique des mains par exemple apporte un sentiment de protection. Ces deux définitions de l’adaptation apparaissent particulièrement familières tant elles concernent notre nouvelle réalité de ces derniers mois. Nous devons en effet nous adapter physiquement en développant une immunité et au niveau comportemental en respectant de nouvelles règles.

a small lizard is sitting on the ground
a person holding a baseball bat

Les stratégies d’adaptation ou « Coping » :

Le terme de « coping » vient de l’anglais « to cope with » signifiant « faire face à ». Le coping fait référence à l’ensemble des actions et des processus que l’on imagine (domaine de la pensée) et que l’on met en place (domaine de l’action) pour faire face à une source de stress. Cela correspond donc à toutes les stratégies d’adaptation auxquelles on a recours pour maîtriser l’impact sur le physique et le mental. On distingue deux types de coping :

Le coping centré sur le problème :

Dans ce cas on contrôle ou on modifie la source de stress en elle-même pour trouver une solution directement. Cela passe aussi par une recherche de compréhension du problème. Il s’agit d’un processus dynamique et d’affrontement des choses. Par exemple : chercher des informations, élaborer des plans, développer des nouvelles compétences, etc…

Le coping centré sur les émotions :

Dans ce cas on cherche à gérer une situation au niveau émotionnelle. Par exemple : trouver du réconfort auprès de proches, faire une activité qui détend, etc

Un coping est dit adaptatif lorsqu’il mène à la gestion du problème. Dans ce cas le coping apporte un état émotionnel positif, permettant au sujet de maîtriser ou de diminuer l’impact de l’évènement sur le physique ou le mental. La personne dans ce cas perçoit qu’elle a le pouvoir de contrôler sa vie. La recherche a démontré que les personnes ayant de nombreuses stratégies d’adaptation vivent moins d’expérience négatives ! Autrement dit, le bien être est lié à la qualité d’adaptation de l’individu. Il est donc très bénéfique de développer au mieux ces compétences adaptatives.

« Stress » et Changement :

Tout changement, quel qu’il soit, amène à un stress. Cela fonctionne de façon assez systématique : Une modification dans notre environnement, donc un changement, engendre une nécessité d’adaptation. L’énergie permettant de conscientiser cette nécessité c’est le stress.

Le stress est donc une réaction aussi normale que nécessaire à l’organisme car il fournit une sorte d’impulsion. Un peu comme un déclic nécessaire à la mise en route d’un moteur. La manifestation du stress est le résultat d’une réaction hormonale en chaîne dans laquelle interviennent cinq hormones :

L’ACTH : hormone corticotrope qui est sécrétée par une glande située à la base du cerveau nommée l’hypophyse. Son rôle est de stimuler les glandes surrénales, qui, à leur tour, libèrent le cortisol.

Le cortisol : dont le but est de fournir au cerveau un apport énergétique suffisant pour disposer de l’énergie nécessaire pour faire face au stress. Il permet notamment la régulation de la tension artérielle, des fonctions cardiovasculaire et immunitaire. Le lien avec le système immunitaire mérite notre attention en cette période de lutte contre un nouveau virus. Nous en parlerons plus loin.

L’adrénaline prépare l’organisme à faire face au stress : le rythme cardiaque et la respiration s’accélèrent, la pression artérielle augmente.

L’ocytocine qui influence notre comportement en société. Surnommée hormone d’attachement, elle est particulièrement impliquée dans la relation mère-enfant. Nous ne la produisons aussi pas le toucher ! Or, la distanciation sociale force à éviter le toucher

La vasopressine appelée hormone antidiurétique permet de réguler les fonctions urinaires et la pression sanguine. Elle intervient dans la gestion de l’anxiété.

Le vécu du stress peut avoir des valeurs positives ou négatives. On lui attribuera une valeur positive lorsqu’il donnera l’énergie nécessaire pour mener à bien des objectifs et projets exaltants. Il amènera dans ce cas des ressentis de légèreté. Dans d’autres circonstances, quand des changements s’imposent sans laisser de choix, le stress aura une valeur négative. Il apparaitra comme fortement déstabilisant et amènera des ressentis de lourdeur. Au-delà de ces concepts, nous pouvons distinguer deux types de stress : le stress relatif et le stress absolu.

woman biting pencil while sitting on chair in front of computer during daytime
Woman Sitting in Front of the Laptop Computer in Shallow Photo

Le « stress absolu » :

Il se produit lorsque l’on fait face à une situation menaçante pour notre survie. Lors d’un stress absolu, les hormones de stress produites ont un impact sur notre cerveau et elles ont le pouvoir de modifier notre façon de percevoir les choses ! Cela nous permet d’être plus en alerte et d’avoir nos sens plus aiguisés. Ceci s’explique par la nécessité archaïque d’activer un instinct de survie. Comme avoir la capacité de détecter la menace et fuir face au danger par exemple.

Notre perception modifiée en cas de stress absolu n’est donc pas forcément des plus fiables, rationnellement parlant, et peut favoriser une perte d’esprit critique. Ce phénomène mérite notre vigilance en cette période de crise sanitaire. Car dans ce contexte de stress absolu le niveau de stress est entretenu par un flot médiatique anxiogène et envahissant, dont il n’est pas toujours évident de démêler le vrai du faux. Nous nous retrouvons aussi dans une sorte de paradoxe. L’information est utile et parfois nécessaire pour adapter notre comportement à la nouvelle situation. La connaissance peut nous donner un sentiment de contrôle sur la situation et même nous sauver.

Mais lorsqu’elle est omniprésente et unilatérale, comme c’est le cas ces derniers mois, elle devient source de stress. Autrement dit, ce qui est censé nous sortir de l’eau est aussi ce qui a tendance à nous y faire replonger !

Au-delà de ce paradoxe, nous pouvons évoquer la notion de temporalité. Le stress absolu est censé se vivre de manière temporaire. Cette crise sanitaire quant à elle persiste et nous ignorons le temps que cela prendra encore. Ce qui nous amène à vivre un stress absolu de façon chronique.

Or, le stress vécu de manière chronique devient toxique pour le corps et l’esprit. Il est donc essentiel, voire vital, de disposer de ressources qui nous permettent de dompter ce type de stress.

Le « stress relatif » :

Plus modéré, il survient lorsque l’on fait face à des contrariétés de la vie de tous les jours. Des situations qui nous confrontent aux quatre caractéristiques suivantes :

  • Contrôle faible
  • Imprévisibilité
  • Nouveauté
  • Égo menacé

Imaginons un exemple tout simple : la nécessité de travailler avec un nouveau programme informatique. Cette situation peut apparaître stressante en donnant l’impression que l’on ne gère pas le nouveau programme (contrôle faible), que l’on ne s’attendait pas à cette nécessité (imprévisibilité), que l’on doive s’adapter à quelque chose que l’on ne connaît pas (nouveauté) et que l’on risque de passer pour quelqu’un qui n’est pas très doué (égo menacé).

Cette situation paraît simple et banale. Pourtant, sur le plan physiologique, chaque fois que nous sommes confrontés à une de ces quatre situations, nous produisons une réponse similaire à celle du stress absolu !

Autrement dit, chacun de ces quatre points amène la réaction hormonale décrite plus haut. Nous reviendrons sur ces questions dans le volet :

Apprendre à gérer son stress.

Man in Black Shirt and Gray Denim Pants Sitting on Gray Padded Bench
Photo Of Man Touching His Head

Stress et qualité du système immunitaire :

La recherche médicale a mis en évidence l’impact du stress sur l’efficacité de l’immunité. Le stress active une structure cérébrale, l’hypothalamus, qui ensuite produit les hormones de stress. Ces hormones, dites neurohormones, activent les réponses de l’organisme décrites. Pour cela elles doivent transmettre des informations à un certain nombre de cellules, et notamment aux cellules immunitaires. En transmettant les informations, pour activer leur action spécifique, les hormones agissent sur les cellules cibles, grâce à un système de « clé ».

Le mécanisme est le suivant : chaque cellule dispose d’une membrane (enveloppe) sur laquelle figurent des récepteurs. Ceux-ci sont comparables à des « serrures », dans laquelle peuvent rentrer des « clés » correspondant à l’information en provenance de l’hormone.

Lorsque le stress devient chronique, c’est un peu comme si plein de clés venaient abimer la serrure. Et les cellules immunitaires se retrouvent épuisées. Par conséquent, elles ne jouent plus correctement leur rôle de défense de l’organisme.

Actuellement nous sommes dans une situation où l’on subit un stress absolu, de façon chronique, et ce, à une période où notre système immunitaire devrait être justement plus efficace !

Cet état de stress absolu est entretenu par les médias anxiogènes. Et entre les réseaux sociaux et les journaux  télévisés, il est facile de se retrouver exposé en boucle à des stimulations négatives. Ce qui renforce l’état de  stress chronique. Lorsque l’on sait l’impact de l’émotionnel sur le physique, il est urgent d’agir.

La bonne nouvelle c’est que nous avons la possibilité d’influencer notre esprit et donc d’agir sur notre bien-être mental. Car aussi complexe que soit le cerveau, il croit ce qu’on lui dit ! Dans cette idée, des expériences menées en psychologie ont pu démontrer que se forcer à sourire amène à une sensation de bien-être. Ce qui s’explique par le fait que la musculature faciale sollicitée dans le sourire agit ensuite sur une structure du cerveau, l’amygdale. Elle correspond au centre émotionnel du cerveau. Ce qui va libérer des neurotransmetteurs  des substances chimiques du cerveau- qui jouent un rôle essentiel dans le ressenti de bienêtre. Ce mécanisme peut s’utiliser au profit de la santé mentale.

Après des mois d’inquiétude et de stress, nous vous proposons donc des pistes pour agir efficacement sur votre niveau de bien-être. Il s’agit de provoquer un cercle vertueux. Cela consiste à reprogrammer positivement votre cerveau. Et lorsque l’on s’applique, oui, ça marche !

Man Standing in Front of Window
Woman In Collared Shirt

En vous dirigeant consciemment vers des choses qui vous font du bien et qui vous apporte du plaisir, de la joie, vous cultivez les émotions positives et vous favorisez la production de plusieurs neurotransmetteurs essentiels à votre équilibre émotionnel. Il en existe de nombreux, mais nous allons nous centrer sur quatre d’entre eux :

  • La dopamine : fortement liée au plaisir elle permet de ressentir des sentiments de satisfaction, d’appétit de vivre et de motivation.
  • La sérotonine : impliquée dans l’optimisme, la joie de vivre et la régulation du sommeil. Elle a un effet antidépresseur.
  • L’acétylcholine : associée à la créativité, l’intuition et le goût de l’aventure.
  • Le GABA (acide gamma-aminobutirique) favorisant la prise de recul et la bienveillance

Les chercheurs en neurosciences se sont penchés sur les conditions à réunir pour que notre cerveau produise ces neuromédiateurs. Il en ressort deux constats :

  • L’activité sportive favorise la production de la dopamine (sensations de plaisir et de satisfaction) et la sérotonine qui régule l’humeur et les émotions
  • Lors d’une tâche, la concentration, donc le fait d’être pleinement attentif à ce que l’on fait favorise aussi la production de ces neurotransmetteurs.

Il ne tient donc qu’à vous d’instaurer un cercle vertueux pour faire de ces substances neurochimiques des alliés de votre équilibre émotionnel. Il s’agit d’une adaptation nécessaire pour réguler la chimie de notre cerveau particulièrement bouleversée ces derniers mois.

Dans la suite de cette newsletter, nous allons vous transmettre des outils pratiques et concrets pour y parvenir.

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